Le gouvernement, déjà ébranlé par un vote sanction aux européennes du 7 juin, a perdu de sa superbe.
Il a marqué quelques points durant l'été, mais, sauf coup de théâtre, il ne retrouvera pas les 45 % de suffrages qui lui ont permis de dominer l'unique chambre du Parlement depuis 2005.
José Socrates continue de faire face à des soupçons de corruption, auxquels s'ajoute désormais un parfum de censure. La charge porte, dans un pays où la dictature n'est pas si lointaine. Le Figaro
Il a marqué quelques points durant l'été, mais, sauf coup de théâtre, il ne retrouvera pas les 45 % de suffrages qui lui ont permis de dominer l'unique chambre du Parlement depuis 2005.
José Socrates continue de faire face à des soupçons de corruption, auxquels s'ajoute désormais un parfum de censure. La charge porte, dans un pays où la dictature n'est pas si lointaine. Le Figaro